Kaleb, tome 2 - Le mâle dans la peau

Synopsis :

Magnétique et sensuelle, Abigail est l'arme la plus redoutable du réseau SENTINEL.
La jeune succube se nourrit de votre énergie vitale et vous consume dans l'extase.
Inutile de lutter : l'attraction qu'elle suscite est irrésistible.
Même si faire l'amour avec elle, c'est s'unir à la mort.

Kaleb Helgusson est plus dangereux encore, car il porte désormais l'empreinte du Mal.
Quand leurs routes se croisent, Abigail a beau le repousser, l'empathe l'attire comme un aimant.
Au terme d'un affrontement passionnel sans merci, ils découvriront avec effroi ce que la combinaison de leurs dons peut accomplir.
Mais seront-ils capables de maîtriser leurs désirs les plus sombres ?

Mon avis :

            Pour mon plus grand plaisir, ce tome se poursuit dans la continuité du premier volume. Kaleb, parti à la recherche de ses origines à la fin du précédent titre, s’attarde dans différents camps de réfugiés afin de comprendre ce que les SENTINELS lui veulent mais également ses origines et, naturellement, comment avoir plus d’emprise sur son empathie. Gare aux expériences et aux individus à qui il offre sa confiance, car la trahison est toujours aussi présente, et certaines entités maléfiques peuvent entrer en jeu et prendre le contrôle à l’insu de chacun.

            Mais l’intrigue n’est plus intégralement consacrée à lui. En effet, un personnage secondaire du tome 1 prend de l’ampleur dans ce second volet et marche aux côtés de Kaleb, sans que ces intentions ne soient clairement établis. Cela ne peut rajouter que du piquant à ce deuxième opus, conduit par une main de maître par Myra Eljundir.

            Cette dernière nous conduit ainsi de rebondissements en rebondissements, à tel point que le lecteur n’est plus capable de croire un seul mot de tous. Malheureusement, ces rebondissements s’enchaînent tellement rapidement que le nous pouvons parfois être largués dans la lecture, ce que je trouve dommage…

Au fil des pages, l’auteur nous délivre ainsi la destinée des Enfants du Volcan et les objectifs destructeurs de leur véritable ennemi.

Le style d’écriture est toujours aussi fluide et le roman se lit avec toujours autant de facilités, même si l’intrigue peut malheureusement embrouiller l’esprit d'un lecteur dit distrait.

C’est ainsi toujours un bon moment de lecture, même si j’ai une petite préférence pour le premier tome.

Les autres titres de la saga :

1. C'est si bon d'être mauvais

2. Le mâle dans la peau

3. Tout est bien qui finit mal

- saga terminée -